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Détails sur le produit
- Publié le: 2017-06-01
- Sorti le: 2017-06-01
- Format: Ebook Kindle
Commentaires clients
Commentaires clients les plus utiles
25 internautes sur 27 ont trouvé ce commentaire utile.
Un livre nécessaire
Par Eric OD Green
Bien que le mythe de la Wehrmacht "propre" possède peu de consistance pour un public universitaire, il est évident que le fait de disposer d'un ouvrage qui récapitule de manière structurée et chronologique les différentes fautes morales et déontologiques que l'armée allemande a pu commettre, notamment lors d''opération commise à l'Est, avec des actions douteuses qui commencent en Pologne mais dont l'apogée culminera lors de la guerre apocalyptique qu'Hitler souhaite entreprendre contre l'URSS est un ouvrage nécessaire. Ensuite on sait très bien que la guerre froide rend nécessaire la remise sur pied d'une armée allemande avec l'aide des Etats-Unis. Cet aspect de realpolitik est difficile à blâmer dans le contexte de l'époque avec une menace soviétique qui n'a rien d'imaginaire. La remise sur pied de l'armée allemande ne permet pas de dénazification complète de l'institution et permettra à un certain nombre de cadres issus de la Wehrmacht et ayant participé à des crimes de guerre de continuer une carrière militaire pas forcément négligeable. Un livre indispensable à tous ceux qui veulent savoir qu'elle fut le comportement de l'armée allemande, lorsqu'elle devint selon le titre fameux d'un ouvrage d'Omer Bartov "l'armée d'Hitler" et contribua à la destruction des juifs d'Europe d'une manière particulièrement immonde ou il est très difficile d'établir une distinction rationnelle avec l'action des SS.
0 internautes sur 0 ont trouvé ce commentaire utile.
Bâclé et daté
Par sulpicia
Ce livre mérite un commentaire à deux titres.Ceux-ci n’ont malheureusement que peu à voir avec ce que l’on en attendrait car ce livre n’apporte rien de neuf sur un sujet déjà bien rebattu. L’honnêteté oblige toutefois à rappeler que l’original allemand date de 2002, ce qui oblige à mitiger la sévérité du jugement que l’on porte sur la nouveauté du contenu.Le premier commentaire portera sur un contenu que l’on trouvera peu organisé sinon même franchement hétéroclite et, en somme, peu en rapport avec un titre français qui annonce du narratif. Il est clair que, si l’on considère un titre allemand que l’on traduira littéralement par La Wehrmacht. Image de l’ennemi, guerre d’anéantissement, légendes, on comprend mieux que l’on va avoir affaire à du bric-à-brac. On y sent le collage assez brutal de trois études distinctes, rassemblées pour faire un volume et surtout de cette bibliographie qui permet de faire carrière dans un monde académique lettreux qui aime les livres plus que les articles. On aura compris que ce livre est d’abord désagréable par le sentiment de bâclé qu’il impose à son lecteur.Le second commentaire portera sur l’intention qui sous-tend l’entreprise. Wolfram Wette est de ces historiens allemands typiques des années 1970-2000 qui ont fait carrière sur la haine de soi et la repentance selon ce mode qui a fait passer une culpabilité – bien trop réelle, hélas –, de l’institution Wehrmacht à l’ensemble de ses membres pris individuellement, cela étant bien entendu destiné à faire comprendre à chaque Allemand qu’il était personnellement responsable de la guerre au même titre que l’était le SS déverseur de gaz. Cette généralisation est aussi absurde que celle qui consisterait à absoudre la Wehrmacht dans son ensemble. Une telle attitude a payé puisqu’elle a permis à Wolfram Wette de faire carrière, y compris dans l’Université russe de Lipezk – merci Wikipedia –, mais elle commence sentir la naphtaline et nécessite d’être nuancée : si la Wehrmacht a compté de vrais criminels, et en nombre considérable, elle a aussi et surtout compté une énorme masse de pauvres types, et quelques saints.Il reste qu’il est bon que les Wolfram Wette et autre historiens du même genre prennent enfin leur retraite et cèdent leurs chères chaires à des historiens, tels que Peter Longerich par exemple, pour que la deuxième guerre mondiale devienne un véritable objet d’étude et non plus le lieu d’exercice du jugement de valeur.
3 internautes sur 5 ont trouvé ce commentaire utile.
La Wehrmacht fut une organisation totalitaire, complice des crimes nazis
Par Latour07
Wolfram Wette est un historien allemand. Son ouvrage "Les crimes de la Wehrmacht", préfacé par l'historien militaire allemand Manfred Messerschmidt, fut publié en Allemagne en 2002. Il témoigne d'une prise de conscience exprimée dès les années 1980, exacerbée par une exposition sur la Wehrmacht en Allemagne en 1995-1996 qui connut un immense succès populaire outre-Rhin.Quel est le mythe ?Le mythe est celui forgé dès le 8 mai 1945 d'une armée régulière "propre", entachée seulement sur ses bordures, qui dans son fonctionnement, son organisation, ses combats avait été régulière, respectueuse du droit international, d'une part, et d'une SS qui concentrait tout le Mal, des Einsatzgruppen aux camps d'extermination, synthèse du nazisme combattant.Ce mythe est un mensonge.Il fut propagé par les anciens militaires, officiers généraux et subalternes de la Wehrmacht dans la création de la Bundeswehr, l'armée de la République Fédérale d'Allemagne (RFA) en opposition à la RDA, sous domination soviétique pendant toute la guerre froide. Double avantage : création d'une armée qui sait reprendre un passé, nourrissant sa tradition, et cohésion militaire face à la menace de l'Est. Cet arrangement avec l'Histoire ne doit pas occulter les découvertes récentes sur l'armée allemande en campagne de 1939 à 1945.L'armée allemande est composée de millions de soldats issus du peuple qui a été plongé dans une instruction belliciste bien avant la première guerre mondiale. La création de l'Allemagne fédérée par la Prusse fut un combat tout autant politique que culturel, social structuré par le culte de la force, du fer, "la foi dans l'épée" (Bismarck). Le monde prussien est autoritaire et inégalitaire, ce que démontra Emmanuel Todd. Il est militarisé.La fin de la Première Guerre mondiale fut vécue par les nationalistes, les militaires comme une épreuve infligée par les traîtres allemands, socio-démocrates, juifs, communistes avec cette légende (honteuse autant que profondément stupide, l'Allemagne ayant été militairement défaite par la France principalement) du "coup de poignard dans le dos". Les nationalistes et autres militaristes cultiveront cette soif de vengeance guerrière en commettant nombre de meurtres de personnalités politiques allemandes entre les deux guerres, en fustigeant le bolchévique et le Juif, développant une thématique raciste que sut reprendre avec véhémence Adolf Hitler. Ce n'est pas le nazisme qui a exacerbé l'antisémitisme ! La haine raciste existait dès avant la Première Guerre mondiale. Hitler sut gagner les coeurs des officiers généraux et plus avant, de la troupe allemande, en décrêtant, dès sa prise de pouvoir, que l'armée était le second pilier de l'Etat.Les nombreux cas d'officiers généraux décrits dans l'ouvrage témoignent d'un alignement de conviction politique et raciale de l'Armée allemande sur le dictateur Hitler.La haine du bolchévique, assimilé au Juif, comme menace mortelle du Peuple allemand, s'est traduit machinalement, avec une application toute industrieuse, par la destruction volontaire de millions de Juifs en Europe Centrale. Ces assassinats de masse le furent en étroite collaboration entre la Wehrmacht et la SS. Organisation, planification, exécution : les distinguos sont subtiles et ressortent in fine dans l'acte du meurtre, si une nuance devait être apportée.Wolfram Wette, en fin de son ouvrage étend la compréhension de la barbarie allemande sur les autres fronts que ceux de l'Est. Il évoque la Grèce, la Serbie. Il ne mentionne pas - faute d'espace- le racisme des troupes régulières qui massacrèrent nos soldats de couleur, pourtant prisonniers, sous le contrôle de Rommel.L'historiographie moderne démolit le mythe de la Wehrmacht "propre". L'historien Adam Tooze dans Le Salaire de la destruction: Formation et ruine de l'économie nazie avait également apporté son écot. La Wehrmacht, l’armée du peuple allemand, pas la SS, conçoit, dans la stratégie du « Lebensraum » pour le « peuple sans espace » qu’est le peuple allemand, en vue de lui assurer pendant toute la guerre une alimentation suffisante et éviter la fragilisation du front intérieur connu par la faim en 1917, de conquérir l’Ukraine et d’affamer, dans « le plan de la faim » 30 millions de personnes. Le 23 juin 1942, deux mois avant la moisson, Backe, ministre de l’alimentation du III° Reich, analyse que les rations polonaises sont déjà trop faibles, aucun surplus ne peut être significativement prélevé pour nourrir le peuple allemand. « Le Gouvernement général compte encore aujourd’hui 3,5 millions de Juifs. La Pologne doit être nettoyée au cours de l’année. » Le Gauleiter Franck aura ainsi pour mission de faire disparaître très rapidement 2 millions de Juifs « inutiles » de la chaîne alimentaire. La mise en équation économique d’une telle donnée est glaciale. Göring le déclara le 5 août 1942 « (…) Le Führer a dit et redit, et je le répète après lui : si quelqu’un doit avoir faim, ce ne seront pas les Allemands, mais d’autres peuples (…) » -p.526L'historien français Jean Lopez, spécialiste du Front de l'Est, a décrit cette barbarie, notamment dans Joukov, signalant que les troupes allemandes reculaient en prenant les populations civiles en otage, et "commirent" 60.000 Oradour sur Glane.Il est nécessaire de comprendre l'Histoire, non pas pour juger, mais éviter de pérenniser les mensonges, dégager les erreurs pour ne pas les reproduire. Sans doute est-ce une volonté de ces historiens allemands de courageusement affronter les démons de l'Histoire de leur Nation, saluant, avec honneur, les rares cas de résistance, dont celui du Feldwebel Anton Schmid, déclaré Juste parmi les Nations, pour avoir sauvé plus de 300 Juifs en Pologne, nom qui fut récemment attribué à une caserne en remplacement de celui d'un ancien général de la Wehrmacht au passé sale.
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